Glen Loverdale ...

Auteur : Jacques Fuentealba
Éditions : Walrus
Année de parution : 2012
Prix : 2.49 €

Ma chronique

Tout d’abord, je suis lecteur de nouvelles, entre autres, mais pas de micronouvelles. C’est un genre littéraire particulier qui donne dans le court, le très court dirais-je même. C’est donc ma première lecture d’un recueil de micro-nouvelles.

Avec « le syndrome de la page noire » de Jacques Fuentealba, je n’ai pas été déçu. L’angoisse de la page blanche, je la connais en tant qu’auteur. Vous la connaissez aussi lorsque vous rédigez un courrier et que vous ne trouvez pas les mots.

Après tout, pourquoi ne pas prendre enfin en compte la malédiction de la page noire ?

Jacques Fuentealba nous entraîne dans ses nouvelles courtes (365 textes) qui se lisent vite. Des mots amusants, parfois teintés d’émotion, mais toujours avec une bonne dose de dérision. Oserais-je dire aussi d’autodérision ? C’est Jacques qui a la réponse à cette question.

Le thème est parfaitement respecté à travers les 365 textes, dans neuf « chapitres ». Et vous retrouverez Platon (celui de l’allégorie de la caverne) un peu différent de ce que vous en connaissez.

En tout cas, j’ai aimé me plonger dans les mots de Jacques.

« Les nouvelles vont vite, se dit l’auteur atteint du syndrome de la page noire, et les micronouvelles plus encore !» Et donc ? Elles se lisent plus vite encore aussi.

Ma chronique est courte, ce qui est logique pour un recueil de micronouvelles.

http://www4.fnac.com/livre-numerique/a5018264/Jacques-Fuentealba-Le-Syndrome-de-la-page-noire#FORMAT=ePub